Brassens et les poètes 8/8
1 – 2 – 3 – 4 – 5 – 6 – 7 – 7bis – 8
C’est le dernier post de la série sur Brassens et les poètes. Si vous a plu, abonnez-vous au blog ! Il faut cliquer quelque part à droite (sur un ordinateur), ou tout en bas, après les mots-clefs (sur un smartphone).
On a vu Antoine Pol qui disait ce que Brassens ne savait pas dire. On vu Paul Fort, héritier de Gustave Nadaud et testateur au profit de Brassens. On a vu Victor Hugo remis au goût du jour par le génie musical de Brassens. Dans le dernier billet, Brassens chantait Villon, plus célèbre poète français du Moyen Âge. Alors, Brassens moyenâgeux ? Bien sûr, il le dit lui-même dans Le moyenâgeux.
Vous avez entendu ce bel hommage à Villon :
Ma dernière parole soit
Quelques vers de Maître François
Et que j’emporte entre les dents
Un flocon des neiges d’antan
Pour conclure cette série sur Brassens et les poètes, voilà quelques vers que j’aime bien. Petit plaidoyer pour la poésie, tiré de la chanson La femme d’Hector :
Ne jetons pas les morceaux
De nos cœurs aux pourceaux
Perdons pas notre latin
Au profit des pantins
Chantons pas la langue des dieux
Pour les balourds, les fesse-mathieu
Les paltoquets, ni les bobèches
Les foutriquets, ni les pimbêches
7 commentaires sur “Le moyenâgeux”