Star wars

La chanson geek 1/5
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À partir d’aujourd’hui, le Jardin aux chansons qui bifurquent s’intéresse aux geeks dans la chanson. Petit rappel : un geek est « une personne passionnée par un ou plusieurs domaines précis […] liés aux « cultures de l’imaginaire » (certains genres du cinéma, la bande dessinée, les jeux vidéo, les jeux de rôles, etc.), ou encore aux sciences, à la technologie et l’informatique » (Wikipedia). Ça fait plaisir de voir la science associée à l’imaginaire sur Wikipédia. Bon, disons que ça fait plaisir aux geeks.

Comme j’en ai un peu marre du cinquantième anniversaire de Mai 68, je vous propose pour débuter la série le quarantième anniversaire de la sortie de Star Wars, La guerre des étoiles si vous préférez, sortie en 1977, film typiquement geek. Tout d’abord une version a capella du générique par les Swingle Singers, qui font bien entendre les différentes voix et contre-chants de la partition. Dans la version originale, la musique de John Williams est jouée par un orchestre symphonique qui noie cette délicate construction dans une pâte sonore grandiloquente, seule digne sans doute d’exposer la grande épopée galactique. Écoutez plutôt.

Star wars par les swingles singers

Star wars, version originale

Il y a quarante ans, la sortie du film a donné lieu à une chanson intéressante, La guerre des étoiles, paroles de Étienne Roda-Gil, chantée par René Joly. On notera que c’est encore la même musique, qui est décidément très malléable.

Pas très galactique tout ça… Si ça vous a plu, vous aimerez aussi peut-être la Chorégraphie des robots de Star Wars de Rémy Grumbach (toujours la même musique).

Une petite blague pour finir, parce que les geeks ont beaucoup d’humour (pour faire rire les autres geeks bien sûr).

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La graisse de mitrailleuse n’est pas la brillantine des dieux

Paroles cryptiques 4/9
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Impossible d’aborder les paroles bizarres sans un petit hommage à Étienne Roda-Gil, qui a su combiner ce style avec la variété la plus populaire : « Et c’est chaud comme une crêpe au chorizo », dans Manolo Manolete de Vanessa Paradis, c’est lui ! Un bel exposé sur ce cas, dans la chronique de Bertrand Dicale sur France Info (avec Vincent Delerm) : ici.

Et oui, « Allez donc dire aux moissonneuses, poissons morts, que la graisse de mitrailleuse n’est pas la brillantine des dieux » !! Dans Poisson Mort, de Julien Clerc, sur un texte d’Étienne Roda-Gil.

 

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