Georges Brassens a chanté les chats. Dans Brave Margot évidemment, ici chantée par Patachou.
Et dans P… de toi, déjà passée ici, où il donne la patte aux chats perdus jusqu’à ce qu’un félin frappe à sa porte. Je préfère Le testament, où les pires tourments sont promis aux fouetteurs de chats.
Qu’il boive mon vin, qu’il aime ma femme Qu’il fume ma pipe et mon tabac Mais que jamais – mort de mon âme Jamais il ne fouette mes chats Quoique je n’aie pas un atome Une ombre de méchanceté S’il fouette mes chats, y a un fantôme Qui viendra le persécuter
Chanté par les Montain Men.
D’autres classiques que Brassens se sont attelés au chat. Natalie Dessay et Camille chantent le Duo des chats de Gioachino Rossini.
Le même dans un scène très réussie du film La sentinelle d’Arnaud Desplechin.
Je vous propose aussi une composition de Camille (avec notamment des imitations intéressantes à la fin). Cats and dogs.