I will derive

La chanson geek 2/5
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Le geek a souvent étudié les sciences, ou est en train de les étudier, à moins qu’il ne s’apprête à bientôt les étudier… Dans le monde anglo-saxon où l’université tient une place éminente, les études scientifiques donnent lieu à toutes sortes de chansons de geeks. Par exemple I will derive.

Certaines chansons se proposent de décrire entièrement un algorithme. Ici, l’algorithme du simplexe, inventé par George Dantzig en 1947. Cet algorithme a une portée assez générale et permet d’optimiser de nombreux processus industriels ou organisationnels. Il fut utilisé pour la première fois par les militaires américains lors du pont aérien durant le blocus de Berlin. De nos jours, il donne lieu à de laborieuses séances de TD (tutorial en anglais). Linear Algebra Tutorial – Simplex Method par Pooyan.

 

Noter que ce genre de chanson n’exclut pas le glamour. Derive me may be ?

Vous vous rappelez peut-être la version quantique de la Bohemian Rhapsody de Queen passée dans la série sur la science en chanson (ici) ? Je vous en propose aujourd’hui une version calculatoire, Calculus Rhapsody (NB pour ceux qui ont étudié les maths, « calculus » en anglais désigne ce qu’on appellerait plutôt « analyse » dans les études en France).

Je n’ai rien trouvé de très intéressant en français. C’est dommage, il y avait autrefois un hymne des taupins, impossible d’en trouver la moindre version sur youtube. Si quelqu’un peut m’aider à le retrouver, ça se termine par « chic à la taupe et aux taupins ». Vous pouvez toujours revoir la Marche des polytechniciens, ici.

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