Émile Nelligan

La chanson, art majeur ou art mineur VII. Été 2019, chaque jour un poète, 36/68
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C’est l’été 2019, chaque jour un poète. Aujourd’hui Émile Nelligan, né en 1879.

Monique Leyrac nous chante Le soulier de la morte, sur une musique d’André Gagnon.

Aller, une deuxième. Soir d’Hiver.

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Hommage à Michel Legrand

Ambitus, tessiture et notes extrêmes 11bis/11
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Dans un commentaire, Miss Monde me demande à propos des déclic musicaux si j’ai pensé à rendre hommage à Michel Legrand qui nous a quitté récemment. Hélas non… En fait, mon petit jardin ne publie qu’exceptionnellement des billets d’actualité, et seul notre Johnny national a eu le droit à un billet spécial pour sa disparition, ici. Ne me demandez pas pourquoi…

Mais j’adore Michel Legrand, et puisqu’il est question de déclic, allons-y. Je rajoute ce billet à la fin de la série de septembre 2018, sur les notes extrêmes, à cause d’une chanson de Michel Legrand que j’ai oubliée. Rien de grave dans les aigus, chanson pleine d’humour sur l’ambitus, chantée par Christiane Legrand, sœur de Michel.

En regardant la vidéo, j’ai découvert le groupe vocal Les blue stars, et j’ai trouvé cette vidéo charmante de Lola (ou la légende du pays des oiseaux), version en français de Lullaby of birdland. L’arrangement est dû à Michel Legrand.

Je vous propose aussi La valse des lilas.

Et puis Je ne pourrai jamais vivre sans toi, par Monique Leyrac.

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