Le téléphone pleure (de rire)

Le téléphone 6/24

Claude François en fait des tonnes au téléphone dans un classique de la chanson téléphonée. En duo avec Frédérique Barkoff, fille de sa comptable, Le téléphone pleure.

Par Thierry Le Luron.

La chanson est inspirée de The telephone call de George Jones with Tina.

Dans le film Podium avec Benoît Poelvoorde.

J’aime bien la version des Deschiens.

1 – Le téléphone d’Elli & Jacno
2 – Prélude à l’après-midi d’un hygiaphone
2bis – Olga & Adieu Minette
3 – Dans le Bottin
4 – Lizzophone
5 – Téléphone À Téléphone mon bijou
6 – Le téléphone pleure (de rire)
7 – Get off the phone
8 – Babylone 21 29
8bis – Allo
9 – Le standard téléphonique
10 – Ne coupez pas mademoiselle
11 – Telephone de Lady Gaga
12 – Le jeu du téléphone
13 – L’amour au téléphone
14 – Johnny téléphone
15 – Téléphonez moi chérie
15bis – La voix humaine
16 – Phone numbers
17 – Le téléphone sonne
18 – Téléphone-moi
18bis – Propositions
19 – Ring Ring
20 – Appelle mon numéro
21 – When the phone stops ringing
22 – Téléphone-moi
23 – Busy line
24 – Tout va très bien

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Bonne année 2020

Spécial nouvel an 2020

Bonne année à tous mes fidèles lecteurs ! Avez-vous remarqué qu’il y a une énorme foultitude de chansons parlant du nombre 20, et presque aucune du nombre 19 (voir la série sur les nombres en chanson) ? Et oui, « je vous parle d’un temps que les moins de 19 ans ne peuvent pas connaître », c’est nul… Voyons là un bon présage pour le passage de « 19 » à « 20 » célébré en ce jour.

Puisqu’on parle de chiffres, je vous propose quelques statistiques. La fréquentation du blog a beaucoup augmenté ces dernières années. Au départ, il y avait moins d’une dizaine de visites par jour, aujourd’hui c’est plutôt une cinquantaine, ce qui fait qu’en 2019, vous m’avez rendu presque 15000 visites. Mais je ne sais pas très bien ce que recouvre ce chiffre : combien de robots, de passages d’une demi-seconde via des moteurs de recherche, combien de véritables lecteurs, difficile à dire. Vous êtes à ce jour 119 abonnés par email, 8 abonnés sur Twitter et encore quelques dizaines via Facebook, plus de 200 au total.

Le billet qui a eu le plus de succès en 2019 s’intitule « La pornographie » : 589 visites tout de même. Je suppose que des requêtes plus ou moins lubriques adressées aux moteurs de recherche aiguillent des lecteurs vers mon site. J’espère qu’ils ne sont pas trop déçus… À propos de requêtes, florilège des meilleures que me communique mon hébergeur (hélas, les moteurs les plus utilisés ne transmettent pas leurs requêtes).

– « alexia de haine brigade », 4 fois
NB : en fait, c’est Alexa, chanteuse du groupe punk Haine Brigade auquel j’ai consacré un billet, ici.

– « fuir le bonheur de peur qu’il ne se sauve bach », 12 fois
La requête la plus fréquente.

– « chanson avec pastilles de menthe »
J’aime bien cette chanson de Dranem, voir ici.

– « homsexualite legrand demy »
Il y en a qui se posent de drôles de questions.

– « beat de claude françois porno »
Qu’est-ce qu’il voulait celui-là ? Brrr, j’en frémis.

Le billet du blog qui le plus grand succès depuis le début, c’est « Léo Ferré était-il misogyne ? » : 732 visites. Je suppose que de nombreux internautes se posent la question… et ils tombent sur la deuxième série de mon blog, consacrée au sexisme et au féminisme. Je n’en suis pas très content : écrite au début, quand je n’étais pas encore bien rodé, elle est un peu bancale, incomplète. Bref, je l’ai refondue entièrement, et je vous la ressers ces prochains jours.

Pour finir, mon plus grand regret : je ne passe pas suffisamment de chanteurs en activité. Je lance un appel à candidature, j’offre une place de chroniqueur « chanson d’aujourd’hui », « annonce de concert », ce que vous voulez du moment qu’il y a au moins un chanteur actuel chaque mois. J’offre 50% des bénéfices du blog (c’est-à-dire zéro).

Pour bien commencer l’année, une chanson d’un des meilleurs artistes qui tournent en ce moment, Thibaud Defever (anciennement Presque oui). On saura pas.

Une deuxième, Des oiseaux.

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Bien manger et bien boire : un art majeur

La chanson, art majeur ou art mineur V. Les nanards de la chanson, 2/11
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En fait, le Jardin aux chansons qui bifurquent a déjà exploré quelques chansons nanards. J’suis pas rassuré de Zambla, Terre, tu peux compter sur moi par les Enfants du phare, la Bamba triste de Pierre Billon, Autoroute A6 de Mario d’Alba, Je t’aime moi non plus magnifié par l’Ensemble vocal Garnier. On a aussi passé Florence Jenkins, la cantatrice qui chante faux. Tous ces artistes ont atteint des sommets, merci à eux. Mais on a oublié le grand Patrick Topaloff, et son tube J’ai bien mangé, j’ai bien bu.

C’est l’un des plus grands succès des disques Flèche, le label créé par Claude François. Les mauvaises langues disent que Claude François voulait lancer des chanteurs le moins glamour possible pour rester au top par contraste… Vile calomnie, puisqu’Alain Chamfort a été produit par les disques Flèche, en contradiction totale avec cette théorie du complot. On notera sur la vidéo que Patrick Topaloff sait bien battre la mesure, tout comme Pierre Billon, déjà passé dans le blog. Allez, je vous la remets quand même cette bamba, plus grande chanson-hon de tous les temps dans mon petit Panthéon. La bamba triste.

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La pornographie

La chanson sexuellement explicite 12/18
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La chanson ne s’est pas tellement essayée à la pornographie. Il faut dire que le porno, c’est plus fait pour être vu qu’entendu, pour ce qu’on m’en a dit bien sûr. Selon Wikipedia,  la pornographie est une « représentation complaisante — à caractère sexuel — de sujets, de détails obscènes, dans une œuvre artistique, littéraire ou cinématographique, cette représentation explicite d’actes sexuels finalisés ayant pour but de susciter de l’excitation sexuelle ».

Si l’on s’en tient à cette stricte définition, la première tentative de chanson porno, peut-être la dernière, on la doit sans doute à Gainsbourg, je vous renvoie au billet précédent. Toutefois, au milieu des années Top 50 sont apparues des chansons érotiques aussi sinistres qu’un porno soft sur M6 à 22h55. Regardez le clip ci-dessous, c’est curieux comme laideur. Et la tête qu’ils tirent les deux tourtereaux, ça n’a pas l’air drôle tous les jours pour eux, surtout quand ils s’aiment. Quand tu m’aimes, par Herbert Léonard.

La parolière, c’est Vline Buggy, qui est surtout connue pour avoir écrit beaucoup de chansons de Claude François. Une spécialiste de la chanson à décor, des ambiances : Le pénitencier, Céline ou Le petit âne gris d’Hugues Auffray, c’est elle. Pour cette ambiance là, elle s’est un peu plantée, mais ce n’était pas le plus facile. Moins connu, toujours pour Herbert Léonard, Et toi, sexuellement parlant. Cette fois, la musique est d’un certain Julien Lepers, gloire à lui. Déniché par le site horreursmusicales.com…

Spécialement pour ce billet, je vous ai dégoté une star du porno qui s’est essayée à la chanson : Ilona Staller, plus connue sous son pseudonyme : la Cicciolina. Je suppose que l’exemple n’est pas isolé, mais je me suis refusé à trop enquêter sur ce sujet par égard pour ma e-réputation. J’attends les suggestions de mes lecteurs. La Cicciolina, actrice, politicienne, et donc chanteuse. Baby love.

Vous avez vu ? Étonnant comme la mauvaise qualité des vidéos sur YouTube renouvelle le flou hamiltonien. Pour ceux qui ne connaissent pas, le concept nous vient de David Hamilton, photographe érotique qui a aussi réalisé des films. Un critique facétieux de Télérama écrivait à leur propos : « Dans la salle, les spectateurs crient ‘mise au point’ ».

La Cicciolina a épousé l’artiste kitsch Jeff Koons, et ils ont réalisé ensemble une exposition pornographique d’art contemporain : Made in Heaven. Il parait que le scandale a été unanime chez les critiques d’art, comme quoi ça restait possible en 1990. Puisqu’on est sur un blog de chanson et tout public, je retiens que l’exposition emprunte son titre à une chanson posthume de Freddie Mercury. Made in heaven, par Queen.

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Boris Vian, l’anti-poncif

La chanson, art majeur ou art mineur II. Du poncif en chanson, 4/12
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Les amis de Crapauds et Rossignols réagissent à ma série, voir ici. Ils ne sont pas d’accord… ça tombe bien, moi non plus.  Je continue donc malgré tout, car la verve du rossignol n’atteint pas le blanc crapaud 🙂

Nous continuons donc d’explorer le rapport que les grands paroliers entretiennent avec le poncif. Aujourd’hui, Boris Vian. Voilà bien un auteur-compositeur interprète qui s’est frotté aux arts majeurs : écriture de romans, musique savante (le jazz). Voire même, en considérant l’ingénieur Vian et en se référant aux classifications anciennes de l’art, à l’arithmétique, l’astronomie, etc. Étudier ses chansons et leur rapport au poncif, voilà qui nous plongera à coup sûr dans la chanson-art-majeur.

Pourtant, une difficulté survient à l’étude de ses paroles : elles sont mal écrites, ce qui est bizarre pour de l’art. Avant d’en donner des exemples, en voici un indice : l’existence de variantes. Le déserteur a deux fins (voir ici). Le cas est particulier, mais il n’est pas isolé. Pour certaines chansons, il y a des versions complètement différentes de couplets entiers, un vrai bric-à-brac. La java des bombes atomiques a plusieurs versions (impossible de les retrouver, si quelqu’un peut m’aider). Le cinématographe possède deux fins (une au masculin, l’autre au féminin). Si vous changez un seul mot d’une strophe de Brassens, presque à coup sûr, vous l’affaiblissez. Vian, non, c’est malléable. Ses chansons écrites dans l’urgence de sa courte vie ne sont pas figées par le polissage.

Passons aux exemples. Dans La complainte du progrès, on entend « Maintenant c’est plus pareil, ça change ça change ». Style nul, même dans un slogan publicitaire on n’oserait pas. Ensuite, « frigidaire » rime avec « scooter », absurdité phonétique. Quant à « Gudule », Vian le fait rimer avec « embrasser », c’était pourtant pas compliqué de trouver une rime plus riche. Écoutez la chanson, et délectez-vous du beau clip sur youtube, avec notamment des extraits de films de Jacques Tati.

D’accord, c’est peut-être plaisant, nul ou génial, comme il vous plaira, mais c’est sûrement mal écrit. Comment définir l’écriture de Vian ? Il ne renonce pas à la rime et, en bon auteur de chanson, il est attentif à la manière dont le rythme des consonnes épouse la musique. À part ça, il envoie à la poubelle métaphore, jolie tournure, métrique savante, mot juste, mot rare, le pair, l’impair, la musique-avant-toute-chose, les enjambements, tout ce vieux fatras qu’on appelle Poésie Française, dans lequel Brassens et quelques autres puisent et versent comme à la brocante. Ça plait ou pas, mais après des décennies de révolution dans les arts plastiques et la littérature, ce serait un contre-sens d’attendre de la chanson-art-majeur des poésies tournées comme au temps jadis.

On peut interpréter le style de Vian de bien des manières. Ses paroles ont quelque chose de l’improvisation. Elles sont malléables, comme écrites vite et comme par amusement et par n’importe qui. Vian renouerait-il avec la tradition ancestrale du timbre et de la chanson d’actualité, refondue dans une pratique issue du jazz, l’improvisation sur un standard ? Peut-être. Son écriture est sûrement pionnière : simple et sans fioriture. Contrepartie populaire et pataphysicienne des recherches formelles de Francis Ponge, elle ouvre la route à Gainsbourg, Souchon, Delerm…

Mais qu’en est-il du poncif ? Vian en fait très peu usage. Quand il chante dans Le cinématographe « Belle, belle, belle, belle comme le jour / Blonde, blonde, blonde, blonde comme l’amour », ça n’a rien à voir avec Claude François qui chante « Belles, belles, belles comme le jour / Belles, belles, belles, comme l’amour » dans Belles, belles, belles. Vian chante au second degré, il parle de ce que le public voit projeté sur un écran. Et puis « blonde comme l’amour », c’est curieux franchement, ça parle du poncif sans en être un si vous me suivez.

On avait déjà remarqué l’absence des poncifs habituels sur le « savant » dans La java des bombes atomiques (voir la série sur les scientifiques dans la chanson, ici). Cet aspect de l’écriture de Vian est remarquable : tout plat et mal écrit que ça soit, il n’y a pas de formule poétique toute faite ni de rime automatique. En cela, elle n’est pas si « facile » qu’elle peut le paraître.  Comment Vian fait-il alors pour nous faire entendre la chose déjà entendue, à laquelle on s’accroche pour digérer ses textes sans effort ? La chose déjà entendue, je pense que c’est la langue elle-même. Une langue de tout le monde qui, sans exclure l’invention, use de tournures banales. Il n’y a pour autant pas de recherche d’une couleur populaire, pas de cet argot érudit qui encombre la chanson réaliste et jusqu’à Renaud ou Pierre Perret. Pas de parlé « authentique » déniché par je ne sais quel folkloriste…

La langue Vian est plate, réaliste, et je la rapproche du néo-français de son ami Raymond Queneau. Le néo-français était un projet global pour remplacer le français écrit qui allait selon Queneau devenir une langue morte. À la manière des écrivains de la Renaissance, il projetait d’extraire de la langue réellement parlée une nouvelle grammaire et une orthographe vernaculaire. Queneau a mis en pratique son projet dans ses œuvres, mais cela a été interprété par le public et la critique comme un exercice de style, adieu Néo-Français.

À propos, Raymond Queneau a aussi écrit des chansons. Si tu t’imagines, sur une musique de Joseph Kosma, par Juliette Gréco.

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L’Amérique (et accessoirement la France)

Pierre Delanoë, parolier géopolitique 2/8
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Pierre Delanoë a beaucoup écrit sur les États-Unis. Et plus que tout autre pays, l’Amérique est présentée comme opposée à la France dans ses chansons. Je vois là l’angoisse du gaulliste Delanoë, inquiet de voir la France perdre sa place de grande puissance mondiale. Par exemple dans Moi je suis français, par Claude François.

Delanoë sait aussi présenter l’Amérique sous un jour plus favorable. J’y vois non tant une contradiction qu’un réel talent pour s’adapter à l’univers de ses interprètes (et à leur public donc). L’Amérique, par Joe Dassin.

Car Joe Dassin a passé son enfance aux États-Unis, pas question de lui faire chanter des paroles chauvines ou de l’anti-américanisme primaire. On garde ça pour le phrasé de grosse caisse de Claude François et son public populeux. Dassin évoque sa double culture dans Côté banjo, côté violon. Avec Jeane Manson, sur des paroles de Pierre Delanoë, of course.

Pour finir sur l’Amérique, on doit bien sûr à Pierre Delanoë La java de Broadway. Ce choc des civilisations, mi-onirique mi-éthylique, décrit un français très franchouillard qui se prend une biture à New-York et qui mate les filles dans un bar. C’est l’hymne définitif du beauf. Taillé sur mesure pour Sardou, donc.

Et puis je vous disais au début du billet que Delanoë était gaulliste. Je le prouve. Il a écrit une hommage à De Gaulle, particulièrement appropriée en ce 18 juin. Tu le regretteras, par Gilbert Bécaud.

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C’est la même chanson

Expressions et mots venant de la chanson : les sources et les robinets 5/13
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On enfonce une dernière porte ouverte aujourd’hui avec les expressions qui contiennent une variante du mot « chanson » comme « on connait la chanson », « c’est toujours la même chanson » ou « céder au chant des sirènes ». Ces expressions sont tout à fait respectables, mais on ne peut pas dire qu’elles viennent d’une chanson. Quoiqu’elles soient parfois utilisées en chanson.

C’est la même chanson, par Claude François.

 

Puisqu’on parle de Claude François, Nadia (de Meylan) me propose le mot « claudette » et ses dérivés, comme bernardette. J’apprends que ce mot est inspiré de « ikette », nom des danseuses de Ike et Tina Turner.  Bien joué, mais ça ne vient pas vraiment d’une chanson. Pour continuer sur Cloclo, vous pouvez aussi vous procurer le récent ouvrage de Philippe Chevalier, La chanson exactement, l’art difficile de Claude François. Je ne l’ai pas encore lu, mais ça a l’air intéressant. Interview de l’auteur en réécoute sur le site de France Culture, ici.

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Jean-Pierre Bourtayre n’a rien composé pour Nougaro

Ils n’ont rien composé pour Nougaro 6/8
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Nougaro a fait appel aux grands compositeurs de la variété française : Jacques Datin, Marguerite Monnot, Jimmy Walter, ou Maurice Vander. Mais pas à Jean-Pierre Bourtayre, qui savait pourtant composer toutes sortes de chansonnettes, des discos de Claude François jusqu’à des ballades comme Gentleman cambrioleur. Par Jacques Dutronc.

 

Jean-Pierre Bourtayre savait même écrire des musiques de film à l’occasion. J’aime bien le final des Maitres du temps, film d’animation de Laloux (encore) sur des dessins de Mœbius. Admirez en prime la toute première animation 3D en images de synthèse de l’histoire du cinéma. Et regardez à 4:06, le nom du parolier Jacques Lanzmann est mal orthographié !

Bourtayre savait même composer des chansons à boire galactiques (répertoire qui ne comporte hélas qu’une seule chanson). Paroles de Jacques Lanzmann, La chanson du pochard, encore extraite des Maitres du temps (ce qui explique sa présence au générique…).

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Il avait un marteau

Paralipomènes 44/67
(la série qui revient en 68 billets sur les 44 premiers thèmes du blog)
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La vingt-neuvième série du blog proposait un choix de parodies. Le thème est inépuisable, on y reviendra. En attendant, je disais à propos du phrasé de Claude François que « oui, il avait bien un marteau ». Pour ceux qui n’auraient pas saisi l’allusion, Si j’avais un marteau.

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Hijo de la luna

Paralipomènes 24/67
(la série qui revient en 68 billets sur les 44 premiers thèmes du blog)
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Dans la quinzième série du blog, consacrée aux Roms, j’ai passé quelques chansons parlant des Gitans, Romanichels, etc. Il en existe beaucoup d’autres, comme Hijo De La Luna de Mecano.

Le sous-genre est si répandu qu’on trouve des chansons de chanteurs inattendus dans ce registre. Par exemple Claude François, avec Voleur-Bohémiens (qui irait bien aussi dans le thème Esprit d’épicerie et révolution sexuelle dont on reparle bientôt).

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