La fréquentation de mon blog a quelque peu baissé ces dernières semaines… sans doute parce qu’avant ça, elle avait augmenté. Ou alors c’est la pénurie de bonnes chansons. Parce que les quatre derniers thèmes, c’était l’hymne national américain, une énigme, les bouchers et Jean-Sébastien Bach. Passionnant tout ça, mais les chansons n’étaient pas toujours au top.
Alors, j’ai fouillé dans mes notes préparatoires, et j’ai trouvé un thème plein de chansons toutes plus belles les unes que les autres. C’est l’amour des villes. Amour auquel j’ai vite accolé la mélancolie, car la plupart des chansons sur les villes ont comme une patine de tristesse. En tout cas, « nous déambulerons dans les rues de Paris » comme le chantait Barbara, et de bien d’autres villes, tristes ou joyeuses. Mais pour n’afficher aucune préférence, on commence par une ville abstraite et sans nom.
La ville morte, par Monique Morelli, une chanson de Pierre Mac Orlan selon l’expression consacrée.
Toujours dans la série sur la prostitution, j’ai oublié de passer un grand classique, sur des paroles de Pierre Mac Orlan et une musique de V. Marceau (le V. n’est pas un abréviation de son prénom, allez voir ici pour plus d’info là-dessus). La chanson de Margaret.
D’abord par Germaine Montero.
Puis par Marie Dubas.
Vous pouvez chercher la très bonne version de Barbara, mais elle n’est pas disponible sur Youtube.