Été 2020 : le best of 49
Aujourd’hui, Janis Joplin nous chante To love somebody. Passée dans le blog le 12 mai 2018.
Le jardin aux chansons qui bifurquent
Une chanson par jour !
Été 2020 : le best of 49
Aujourd’hui, Janis Joplin nous chante To love somebody. Passée dans le blog le 12 mai 2018.
L’énigme de l’été 2018, 12/63
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C’est la série d’été du Jardin aux Chansons. Je vous rappelle qu’on cherche ce qui se cache derrière 62 chansons… Aujourd’hui, Le petit cochon de Fragson.
Vous connaissez le Club 27, qui rassemble toutes les vedettes du rock mortes à l’âge de 27 ans ? Brian Jones, Jimi Hendrix, Janis Joplin, Jim Morrison, Kurt Cobain, et récemment Amy Winehouse. Je propose aujourd’hui la création d’un club encore plus étrange et macabre : le Club 44, qui rassemble les chanteurs tués par leur père à l’âge de 44 ans. C’est le cas de Fragson, vedette des années 1900. Mais y a t-il un autre membre à ce club ? Étrangement, oui : Marvin Gaye, assassiné par son père la veille de ses 45 ans. Coïncidence, mais qui n’a rien à voir avec l’énigme.
Dernière chose sur Fragson : si la plupart de ses chansons sont aujourd’hui oubliées, il a composé un air qui est resté très connu, le refrain de Si tu veux… Margueritte.
Mai 68 V, Les nostalgiques de Mai 68, 11/11
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En ce 12 mai, voilà le dernier billet de la dernière de nos cinq séries sur Mai 68. Tout le monde est un peu nostalgique de Mai 68, chacun selon son humeur. Qui aurait bien aimé lancer un pavé sur un CRS, qui aurait voulu vivre dans une communauté hippie. Qui envisage pour sa quéquette des débouchés rétrospectifs et formidables en cette période de révolution sexuelle. Qui, en visionnaire de la réaction, aurait voulu critiquer Mai 68 pendant mai 68, manière tellement plus originale de faire Mai 68. Qui aurait voulu tout simplement trouver du boulot facilement, voir son salaire augmenté puis s’acheter une Simca.
Bref, en cet anniversaire, nous voilà tous « frustrés de la débauche, des honneurs, de la célébrité, du génie ; parfois de chimères plus indéfinissables, de ce que chacun recélait de profond et de doux, depuis son enfance, dans la niaiserie particulière de son rêve. » (c’est du Marcel Proust qui pastiche Gustave Flaubert, dans Pastiches et mélanges).
Dans ce dernier billet sur Mai 68, je vous livre ma vision toute personnelle : moi ce que j’aurais aimé, c’est voir le soleil se lever après la fin du concert des Who, le 29 août 1970 sur l’ile de Wight. See mee, feel me.
Ou peut-être entendre Janis Joplin en vrai, juste une fois. To Love Somebody.
En live, un an avant sa mort à l’âge de 27 ans. Summertime.
Je vous livre aussi un souvenir d’enfance pour conclure. Étant moi-même fils de soixante-huitards, j’ai été biberonné de toutes sortes de discours politiques. À tel point que je croyais que le refrain du tube de l’été de mes 8 ans était « L’était facho, l’était facho » ! Souvenir authentique, et bien étrange dommage collatéral… Je me souviens que ça avait bien fait rigoler mon papa. L’été s’ra chaud, 1979, Éric Charden.
Dans la préparation de ces séries, le site de Jacques Deljéhier m’a bien aidé.
http://www.deljehier.levillage.org/mai_68.htm
La conférence d’Ignatus Que dit la chanson de nous ainsi que quelques échanges avec lui m’ont fourni plusieurs bonnes idées, merci. Voir ses conférences ici.
Je vous recommande le webdoc Mai 68, la science s’affiche, ici.
Pour les villeurbannais, à ne pas manquer, un spectacle sur Mai 68 en chansons, vendredi 18 mai à 20h30 à l’ENM, entrée libre et gratuite, détails ici.
Qui est le plus grand bluesman français ? 8/8
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Voilà, on est tout au bout du chemin, et on n’a pas trouvé le plus grand bluesman français. Tout simplement parce que la question était mal posée. Le plus grand bluesman français, c’est une blueswoman, c’est une femme bien sûr : Madame Colette Magny.
Bravo à Partageux, qui a trouvé la bonne (quoique subjective) réponse dans un commentaire du 30 décembre. Précédemment, Pierre Delorme et NP s’étaient approchés de la vérité en proposant respectivement les blueswomen Édith Piaf et Véronique Sanson.
Je vous laisse écouter.
Saint James Infirmary, au Petit Conservatoire de Mireille, avec une interview à ne pas manquer au milieu de la vidéo.
Nobody knows you when you’re down and out (chanson déjà entendue dans la série, par Scrapper Blackwell).
Any Woman’s Blues.
L’original, par Bessie Smith.
Un reportage sur elle.
Partageux m’a aussi proposé des chansons de Annkrist, merci pour cette découverte. Par exemple Prison 101. Peut-être une référence à 1984 de Georges Orwell ?
Ou encore Par la rue haute, qui sonne moitié celtique moitié blues d’Afrique de l’ouest.
Et pour finir, un autre blues d’une autre blueswoman. Janis Joplin, Turtle Blues. Paroles traduites ici.
En voiture 7/7
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Pour conclure cette série sur la voiture : Mercedes Benz, par la grande, l’incomparable Janis Joplin. C’est le dernier billet avant la série d’été qui commence demain, restez bien en ligne. Une question à mes lecteurs : depuis quelques jours, les statistiques de mon blog indiquent que j’ai beaucoup de clics venant des USA. Bizarre… lecteur américain, robot envoyé par google et téléguidé par Poutine, ou Français en déplacement ?? Dénoncez-vous dans les commentaires !