Imparfait du subjonctif 2/5
1 – 1bis – 2 – 3 – 4 – 5
L’imparfait du subjonctif, c’est beau, on l’a vu dans le dernier post. Du reste, il s’emploie entre gens bien, et son énonciation ne sert pas qu’à énoncer : elle vise à faire savoir qu’on l’énonce, en une étrange rétroaction autoperformative (si vous me suivez). Bref, on se réjouit et congratule. Je vous propose une vidéo avec Charles Trenet et Georges Brassens. Regardez bien, vers 1min46s, le regard de Brassens. Depuis le début, il est fixe et assez inexpressif. Il n’y a que l’imparfait du subjonctif qui le déride :
Par terre on avait mis de la sciure de bois,
Pour que les cracheurs crachassent comme il se doit
5 commentaires sur “Voulait-on que Charles et Georges chantassent ?”