Cosmique troupier

Paralipomènes 57/67
(la série qui revient en 68 billets sur les 44 premiers thèmes du blog)
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La trente-neuvième série du blog était consacrée au comique troupier. Imaginez du comique troupier avec des cosmonautes en place des biffins, ce serait quoi ? Du cosmique troupier sans doute. Par les Frères Jacques, Les cosmiques troupiers.

https://www.youtube.com/watch?v=dJFy864Nt9c

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Dans la chaleur, le silence

Paralipomènes 56/67
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La trente-huitième série du blog était consacrée au silence dans les chansons, et plus généralement en musique. Je vous ai épargné la laborieuse litanie des chansons avec le mot « silence » dedans, il y en a des pelletés. Je ne sais pas pourquoi, quand j’y pense, c’est toujours celle-là qui me vient en premier. Les Négresses Vertes, Face à La Mer.

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La moustache d’Alexandre Castillon

Paralipomènes 55/67
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Un bon conseil : abonnez-vous au blog, vous serez peut-être invité au deuxième anniversaire, vers février. Pour le premier anniversaire, j’ai invité mes plus fidèles abonnés à un concert en appartement, waouhh ! Il y avait Alexandre Castillon accompagné à la guitare par Frédéric Deschodt, c’était trop bien. Abonnez-vous, abonnez-vous, quand vous serez 2000, on va tous à l’Olympia. Alexandre Castillon et Frédéric Deschodt, La moustache.

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Quel que soit le temps que ça prenne

Paralipomènes 54/67
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Toujours à propos de l’énigme VF, je faisais allusion au fameux « quel que soit le temps que ça prenne » qui est un peu bizarre grammaticalement si on y réfléchit… William Sheller, Un homme heureux.

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Le verbe mourirer

Paralipomènes 53/67
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Attention, ce billet contient un spoil. Si vous le lisez, l’énigme VF proposée dans la trente-septième série du blog perdra tout son intérêt.

 

 

Dans la série on notait que Michèle Bernard et Yvan Dautin faisaient la même faute intentionnelle dans la conjugaison du verbe mourir. Je proposais quelques explications plus moins tirées par les cheveux. En voilà une nouvelle : c’est une citation de En relisant ta lettre de Serge Gainsbourg ! Sur la vidéo, la chanson est présentée par Jean-Roger Caussimon.

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Jane, Dorothée et Karen : secrétaires

Paralipomènes 52/67
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La trente-sixième série du blog était consacrée à la profession de secrétaire. J’ai oublié de vous passer ce joli trio qui ressasse obstinément tous les poncifs associés à cette noble profession.

Jane Birkin, Dorothée, Karen Cheryl, Le trio des secrétaires.

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Rap cryptique

Paralipomènes 51/67
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La trente-cinquième série du blog explorait ces chansons dont les paroles sont énigmatiques, ou cryptiques. Émile, internaute de Villeurbanne, nous propose sur ce thème un rap de Dooz Kawa Jour d’hiver.

 

 

Une audition

Paralipomènes 50/67
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La trente-quatrième série du blog explorait les compétitions dans les films musicaux américains. Pour la compléter, je vous propose un extrait du film La La Land, qui nous propose cette variante de la compétition qu’est l’audition passée devant un jury. The fools who dream, par Emma Stone.

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Rotterdam

Paralipomènes 49/67
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Je vous livre une autre réponse à Amsterdam : Rotterdam de Léo Ferré, que m’a signalée Pierre Delorme : « y a pas que des putains, y a pas que des marins », l’allusion à l’Amsterdam de Brel est assez claire.

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Sur Amsterdam

Paralipomènes 48/67
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La trente-troisième série du blog tentait de présenter la géopolitique formant le sous-bassement implicite aux chansons de Jacques Brel. On notait ici que cet arrière-plan était plus introspectif que documenté. La série se concluait par une sorte de réponse à la chanson Amsterdam, par le groupe Parabellum. On n’a peut-être pas assez insisté sur le côté singulier de Amsterdam dans l’œuvre de Brel, et même dans la chanson en général : chanson jamais enregistrée en studio et succès unique dans toutes les annales du music-hall. Sur wikipedia, on lit :

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Jacques Brel avait l’habitude de chanter ses chansons – qu’il composait en tournée avec ses musiciens – pour la première fois en public, aussitôt qu’il les sentait achevées, avant de les enregistrer ensuite en studio. Dans le cas d’Amsterdam, il n’est pas convaincu par la chanson, qu’il considère sans la moindre importance. À tel point que, comptant la chanter pour la première fois lors d’une série de concerts à l’Olympia à Paris, il décide de l’utiliser comme la chanson « sacrifiée » de son concert, en la plaçant tout au début, au moment où peuvent encore se faire quelques ultimes réglages pour le concert, et où les gens du métier savent que le public fait de toute façon bien plus attention aux artistes qu’aux chansons ; « comme ça, on n’en parlera plus, de celle-là », dit-il.

La première est prévue pour le 16 octobre 1964. Mais, comme à l’habitude pour l’Olympia, une représentation servant de répétition générale est donnée la veille, dans un théâtre de Versailles également dirigé par Bruno Coquatrix (directeur de l’Olympia). Constatant alors que la chanson séduit le public, Jacques Brel décide finalement de la déplacer en troisième position de son prochain concert. Lors de la première à l’Olympia, le 16 octobre, la chanson obtient un immense succès auprès des 2 000 spectateurs qui, debout l’ovationnent interminablement ; à tel point que les musiciens, ayant après quelques instants entamé l’introduction de la chanson suivante, sont contraints de la rejouer en boucle un certain nombre de fois devant les applaudissements qui n’en finissent pas. À ces spectateurs s’ajoutent des millions d’auditeurs d’Europe 1 qui retransmet en direct la soirée, auprès desquels la chanson fait également sensation.
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Il semble que cette chanson tracasse particulièrement les chanteurs contemporains de Brel, qui à l’instar de Parabellum semblent lui adresser des réponses, avec « leur » Amsterdam. Sont-ils jaloux du succès incroyable de cette chanson, qui lorsqu’on l’écoute un peu froidement paraît en dessous de bien d’autres chansons de Brel ?

Par exemple, À Amsterdam, de Guy Béart. Il semble que la vidéo ne soit pas disponible sans aller directement sur YouTube, ici.

https://www.youtube.com/watch?v=cYMvLfs4TzM

Au fait, on a déjà passé Amsterdam de Brel dans le blog, ici.

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