Les toponymes de Georges

Neuf devinettes (pas que sur Brassens) 7/10

Devinette du jour : Brassens cite souvent des toponymes. Environ 170 d’entre eux ont l’honneur de figurer dans au moins l’une de ses chansons. On va d’ailleurs consacrer une série à la géographie de Brassens un de ces jours. Le toponyme le plus cité est bien sûr « Paris » (directement dans 11 chansons, beaucoup plus par allusions), suivi par « Espagne » (9 chansons) et « France » (8 chansons). Mais quel est le quatrième de ce curieux palmarès ? Ce n’est pas facile à deviner, il est bien moins connu…

Question subsidiaire : de tous ces toponymes, un seul est en Amérique (Nord et Sud confondus). Lequel ?

Réponse à la devinette d’hier. On demandait dans quelle chanson Johnny Hallyday tombe dans un repli d’espace-temps. Bravo à Simon qui a trouvé le premier la bonne réponse. Il s’agit des Chiens de paille, où Johnny raconte un truc qui se passe « fin août, début juillet ». Enfin par là quoi, vers la fin du confinement.

1 – Devinettes
2 – Les premiers seront les premiers
3 – 13 à la douzaine
4 – Renaud dans le rap
5 – Brassens nous parle de chansons
6 – Johnny dans une faille spatiotemporelle
7 – Les toponymes de Georges
8 – Le plus cité
9 – Recollage
10 – Vers d’anthologie
Tous les thèmes

Johnny dans une faille spatiotemporelle

Neuf devinettes (pas que sur Brassens) 6/10

Devinette du jour : dans quelle chanson Johnny Hallyday tombe-t-il dans une faille spatiotemporelle, un repli de l’espace-temps ?

Réponse à la devinette d’hier. On demandait quelles chansons (à part Sambre-et-Meuse) sont citées deux fois dans les chansons de Georges Brassens. Bravo à Patrick Hannais, internaute de Villeurbanne, qui a trouvé les deux apparitions de La Marseillaise dans deux chansons assez obscures : Les châteaux de sable et Les patriotes. J’ajoute que les paroles de notre hymne national sont citées dans Corne d’Auroch (« on a su qu’il était enfant de la patrie ») et La mauvaise herbe (« quand le jour de gloire est arrivé »). Nadia, internaute de Meylan, nous propose Paroles paroles de Dalida et Alain Delon dans La complainte des filles joie, l’idée est excellente. Réponses refusées : Les prisons de Nantes, qui apparaissent bien dans La route aux quatre chansons, mais je n’ai pas trouvé l’autre apparition. Et Ne me quitte pas, dont l’apparition dans À l’ombre des maris me semble une coïncidence.

Ma réponse : un grand classique de la chanson paillarde, De profundis morpionibus. Il parait que ses paroles sont dues à Théophile Gautier. Elle est citée dans Les quat’z’arts et dans Le mécréant.

De profundis morpionibus, par la bien nommée Chorale CUCEC.

Le mécréant.

Les quat’z’arts.

1 – Devinettes
2 – Les premiers seront les premiers
3 – 13 à la douzaine
4 – Renaud dans le rap
5 – Brassens nous parle de chansons
6 – Johnny dans une faille spatiotemporelle
7 – Les toponymes de Georges
8 – Le plus cité
9 – Recollage
10 – Vers d’anthologie

Tous les thèmes

Brassens nous parle de chansons

Neuf devinettes (pas que sur Brassens) 5/10

Devinette du jour : Brassens fait souvent allusion à des chansons. On a déjà vu dans le blog que cet antimilitariste citait deux fois la chanson Sambre-et-Meuse, voir ici. Mais quelles autres chansons sont citées au moins deux fois dans les chansons du bon Georges ? Question subsidiaire : faut-il y voir un anti-quelque-chosisme ?

Réponse à la devinette d’hier. Je vous demandais un maximum de références au rap dans les chansons de Renaud.

Juthova nous prose « une compil hommage à Renaud par le rap français est sortie en 2001. Ça s’appelle Hexagone 2001…rien n’a changé« . Vous noterez que la deuxième piste de l’album, Où c’est qu’j’ai mis mon flingue, n’est autre que la première chanson passée dans ce blog.

Un commentateur anonyme nous propose « plus qu’une référence, un remake: Lâche l’affaire par R-Wan, le chanteur de Java ».

Je vous propose Hexagonal de Doc Gynéco, référence claire à Hexagone, avec Renaud qui intervient directement.

Pitbull de Booba utilise la musique de Mistral gagnant.

Dans Commis d’office, de Booba et Mala, on entend « C’est pas l’homme qui prend la mer, c’est Christophe Colomb », référence claire à Dès que le vent soufflera de Renaud.

Dans Cherche l’amour de Dooz Kawa, référence claire à Manu de Renaud :

Oh Manu, rentre chez toi
Et puis va pas t’tailler les veines, hein
Une go de perdue, c’est pas la fin d’la race humaine

Manu de Renaud.

Cherche l’amour de Dooz Kawa.

1 – Devinettes
2 – Les premiers seront les premiers
3 – 13 à la douzaine
4 – Renaud dans le rap
5 – Brassens nous parle de chansons
6 – Johnny dans une faille spatiotemporelle
7 – Les toponymes de Georges
8 – Le plus cité
9 – Recollage
10 – Vers d’anthologie

Tous les thèmes

Renaud dans le rap

Neuf devinettes (pas que sur Brassens) 4/10

Devinette du jour : Le rap, du moins en France, est l’héritier du grand courant de la chanson réaliste qui a marqué tout le XXe siècle d’Aristide Bruant à Renaud. À l’appui de cette théorie, je vous demande de trouver dans le rap un maximum de références aux chansons de Renaud (j’ai des exemples communiqués par Émile, internaute confiné dans les Monts du Forez et référent du Jardin pour le rap).

Réponse à la devinette d’hier. On demandait quelle est la chanson de Brassens dont les couplets sont en vers de 13 pieds. Bravo à Pierre, internaute de la Montagne Sainte-Geneviève, qui a le premier donné la bonne réponse.  Il s’agit des Funérailles d’antan. Chanson bouffonne sur un sujet macabre, je me demande s’il faut voir quelque superstition ou message subliminal à ce nombre 13 passé en contrebande (un peu comme le « diabolus in musica » glissé dans la mélodie des Copains d’abord, voir ici).

Pierre remarque que dans Les funérailles d’antan, les vers sont débités « en mitraillette ». C’est quand même une mitraillette bien réglée. Ça fait « un-deux-trois un-deux-trois un-deux-trois un-deux-trois Un » (on peut chanter tous les couplets sur ces paroles, sauf la toute fin). J’ai commis l’erreur de me confiner sans mes partitions de Brassens, mais ça a l’air d’un 12/8, chaque vers s’étalant sur deux mesures. La première est entièrement décomposée en 12 croches (d’où la « mitraillette »), la deuxième contient seulement le dernier pied, et du silence. Et puis ça recommence.

Par Chanson plus bifluorée.

 

Pierre nous signale aussi Le progrès où quelques vers de 13 pieds fleurissent au milieu d’octosyllabes, très belle chanson. Je n’ai pas d’explication à ces apparitions de vers de 13 pieds, mais j’observe que cette fois la musique est de Jean Bertola. Je ne vois pas comment Brassens a pu écrire un texte sur une métrique aussi curieuse sans une ébauche de musique en tête, au moins un placement rythmique. Par Jean Bertola.

Il me semble aussi que dans Embrasse-les tous des vers de 13 pieds se baladent par-ci par-là au milieu d’alexandrins et d’autres choses, car cette chanson n’a pas une conduite très réglée, au plan métrique s’entend…  Par Yves Jamait.

 

1 – Devinettes
2 – Les premiers seront les premiers
3 – 13 à la douzaine
4 – Renaud dans le rap
5 – Brassens nous parle de chansons
6 – Johnny dans une faille spatiotemporelle
7 – Les toponymes de Georges
8 – Le plus cité
9 – Recollage
10 – Vers d’anthologie

Tous les thèmes

13 à la douzaine

Neuf devinettes (pas que sur Brassens) 3/10

Devinette du jour : quelle est la chanson de Brassens dont les couplets sont écrits en vers de 13 pieds ? J’ai fouillé tout l’internet pour voir si l’information était disponible quelque part, j’ai juste trouvé ça, alors bon courage :

versde13pieds
Réponse à la devinette d’hier. On demandait quel single, classé numéro un en Angleterre contient dans ses paroles le titre classé numéro un juste après lui ? Cette question n’a pas trop inspiré les lecteurs… Il s’agit d’un des plus gros hits de tous les temps :  Bohemian Rhapsody de Queen, qui contient dans ses paroles « Mamma mia », titre du single de ABBA classé numéro un juste après Bohemian Rhapsody. C’était en janvier 1976.

Cette Rhapsody est tellement rabâchée, c’est fatiguant, je vous la propose a capella par Freddie Mercury himself.
https://www.youtube.com/watch?v=ao45lm4K5Tg

Mamma mia!, par Meryl Streep dans la comédie musicale du même nom.

1 – Devinettes
2 – Les premiers seront les premiers
3 – 13 à la douzaine
4 – Renaud dans le rap
5 – Brassens nous parle de chansons
6 – Johnny dans une faille spatiotemporelle
7 – Les toponymes de Georges
8 – Le plus cité
9 – Recollage
10 – Vers d’anthologie

Tous les thèmes

Les premiers seront les premiers

Neuf devinettes (pas que sur Brassens) 2/10

Devinette du jour : quel single, classé en son temps numéro un en Angleterre, contient dans ses paroles le titre du single classé numéro un juste après lui ?

Réponse à la devinette d’hier. On demandait quel personnage des chansons de Brassens est souvent considéré comme une femme, alors que c’est sans doute un homme si on y réfléchit. NP de Lyon 6è et Arnaud de l’Arbreslle me proposent la camarde, figure allégorique de la mort. Réponse refusée ! Patrick de Villeurbanne me propose La nymphomane, titre d’un énoncé de Brassens. Réponse pertinente mais refusée ! Pierre de Paris me propose l’Auvergnat, au motif que ce personnage serait en fait Jeanne Planche, qui a hébergé Brassens pendant la guerre. Mais l’Auvergnat de la chanson est plutôt le marie de Jeanne… Réponse refusée donc !

Bravo à Roland, internaute de Toulouse ainsi qu’à un correspondant anonyme qui ont trouvé une réponse meilleure que la réponse attendue :
Il s’agit d’Archipiades (Ballade du temps jadis). C’est l’autre nom d’Alcibiade, connu pour son homosexualité, ce qui était courant et non scandaleux dans l’antiquité. D’ailleurs le célèbre « Lagarde et Michard » signalait en note que Villon croyait qu’Alcibiade était une femme. Villon mettait Alcibiade au féminin par moquerie mais il savait parfaitement que c’était un homme !

La réponse attendue était Lulu dans Fernande. Et oui, quand il pense à Fernande, à Félicie ou à Léonore, il se passe tout plein de trucs, mais alors Lulu pas du tout. C’est sûrement parce que Lulu est le diminutif de Lucien …

1 – Devinettes
2 – Les premiers seront les premiers
3 – 13 à la douzaine
4 – Renaud dans le rap
5 – Brassens nous parle de chansons
6 – Johnny dans une faille spatiotemporelle
7 – Les toponymes de Georges
8 – Le plus cité
9 – Recollage
10 – Vers d’anthologie

Tous les thèmes

Devinettes

Neuf devinettes (pas que sur Brassens) 1/10

Cela faisait bien longtemps que le Jardin n’avait pas proposé une énigme. C’est qu’elles ne sont pas faciles à concevoir… D’autant que j’essaye de trouver des questions dont on ne peut pas trouver la réponse sur son moteur de recherche préféré. Pour me rattraper, il y aura ces prochains jours neuf devinettes. Une sur deux sera consacrée à Georges Brassens. Elles sont toutes très difficiles, bonne chance à tous.

Devinette du jour : quel personnage des chansons de Georges Brassens est souvent considéré comme une femme, alors que c’est sans doute un homme si on y réfléchit ? Merci à Nadia (de Meylan) pour m’avoir proposé cette idée (et bravo à elle également pour avoir décrypté le titre du billet d’hier soir !).  Réponse demain, j’attends vos propositions.

Et puis je lance une grande consultation, dites-moi dans un commentaire quel est votre vers préféré de Brassens, on fera le point là-dessus dans le dernier billet de la série.

Je n’ai pas de chanson du jour puisque dans cette série, la chanson du jour est la réponse à la devinette de la veille … Je vous propose L’ancêtre de Georges Brassens, dédiée à tous nos aïeux et aïeules isolés en maison de retraite, à l’hôpital, etc.

En répétition avec Pierre Nicolas.

1 – Devinettes
2 – Les premiers seront les premiers
3 – 13 à la douzaine
4 – Renaud dans le rap
5 – Brassens nous parle de chansons
6 – Johnny dans une faille spatiotemporelle
7 – Les toponymes de Georges
8 – Le plus cité
9 – Recollage
10 – Vers d’anthologie

Tous les thèmes

Pistaches verdies

Pistaches verdies

Suite à la série sur les pastiches d’écrivains (voir ici), plus lecteurs et lectrices m’ont envoyé divers pastiches de chansons (merci à Françoise, Hélène, Sylvette, Henri et Pascal).

D’abord, à la Brassens, le finement ne fait rien à l’affaire ! Isa Rety, Le con finement.
https://www.youtube.com/watch?v=QZaRTmc-fU8
Ensuite à la Brel. Chauffe Les Goguettes ! T’as voulu voir le salon.

Pour finir mon préféré, de profundis coronavirus, Motet pour le temps de confinement, par Benoit Dumon.

Sinon, à partir de demain, il y a énigme, alors pour vous mettre en jambes, donnez-moi le secret caché derrière le titre de ce billet !!

Tous les thèmes

La rose, la bouteille et la poignée de main

Main dans la main, joue contre joue 1/15

À l’heure des mots affreux, du « geste barrière » et de la « distanciation », Le Jardin explore les chansons qui célèbrent le contact : accolades, bises et bien sûr, cette « pauvre poignée de main… oubliée en chemin ».

Georges Brassens, La rose, la bouteille et la poignée de main.

1 – La rose, la bouteille et la poignée de main
2 – Joue contre joue
3 – Abouche ta bouche avec ma bouche
4 – Baisers dans le soir
5 – La tendresse de Bourvil
6 – Aznavour démodé
7 – Big bisou
8 – Les uns contre les autres
9 – See me, feel me, touch me
10 – Everybody needs somebody
11 – Main dans la main
12 – Embrasse-moi idiot
13 – Katerine des bisous
14 – Bahia
15 – De l’autre côté de mon rêve

Tous les thèmes

 

 

Georges Brassens est-il misogyne ?

Féminisme / sexisme 8/16

Bienvenu sur le blog Le jardin aux chansons qui bifurquent : le blog qui explore la chanson à travers des séries thématiques ! Jacques Brel et Léo Ferré étaient d’authentiques misogynes, il n’y a aucun doute là-dessus. Pour Georges Brassens, la question est autrement plus complexe. Je vous propose un florilège de ses chansons les plus féministes et les plus misogynes.

Quand Brassens raconte l’histoire d’une blonde, il l’appelle Bécassine, mauvais point de départ. Mais la chanson est plutôt féministe.

Dans La complainte des filles de joie, il parle des putains sans misérabilisme ni complaisance, c’est plutôt rare en chanson, voir la série du blog sur la prostitution en chanson, ici.

Une difficulté de notre question, c’est l’anachronisme. On juge un chanteur né il y a presque un siècle sur des critères actuels, on tombe vite dans les débats stériles du type « Tintin est-il raciste ? ». Brassens est original de ce point de vue : homme du passé profond, ou même de sa réinvention, qui chante les dieux grecs, le moyen-âge, le cocu, la bergère ou le curé du village… mais qui chante aussi des chansons qui semblent en avance sur leur temps, comme Les croquants, qu’on appellerait aujourd’hui une chanson sur le « consentement » (tout comme Bécassine d’ailleurs).

Passons aux chansons misogynes. Tout d’abord, Misogynie à part. Le mot est dans le titre, c’est assez rare. Elle l’emmerde, on a compris.

Dans Une jolie fleur, il explique qu’en amour, on ne demande pas aux filles d’avoir inventé la poudre. Peut-être, mais aux hommes non plus en fait.

Une petite dernière, Les casseuses. Prenez garde au placement rythmique des paroles, c’est assez curieux et original.

Bon voilà, trois chansons partout, match nul. Pour faire avancer le débat à charge, on peut noter que tous les personnages féminins des chansons de Brassens sont toujours là pour dispenser de l’amour d’une manière ou d’une autre (comme mère, épouse, amante, putains, etc), il n’y a presque aucune exception (je mets le « presque » par pure précaution, je n’ai pas d’exception en tête… allez, peut-être les marchandes d’oignons du marché de Brive-La-Gaillarde). Alors que ses personnages masculins ont des rôles plus variés. Mais on peut probablement dire ça de toutes les chansons de son époque, voire même de celles d’aujourd’hui. Je note cependant que dans ses chansons féministes, Brassens recourt un peu plus à la généralisation que dans ses chansons machistes. L’existence même de chansons féministes est significative : quel chanteur de sa génération a chanté des chansons féministes ? Ma conclusion : ce bon Georges n’est pas du tout misogyne !

À ceux et celles qui voudraient malgré tout lui intenter un procès et obtenir que ses chansons soit à nouveau censurées, je vous donne une combine (mais je demande un pourcentage des dommages et intérêts) : donnez  quelques échantillons de ce qu’on appellerait aujourd’hui la « culture du viol ». Dans La chasse aux papillons :

Sur sa bouche en feu qui criait: « sois sage »
Il posa sa bouche en guis’ de bâillon
Et c’fut l’plus charmant des remue-ménage
Qu’on ait vu d’mémoire de papillons

Dans Le moyenâgeux :

Après une franche repue
J’eusse aimé, toute honte bue
Aller courir le cotillon
Sur les pas de François Villon

Troussant la gueuse et la forçant
Au cimetière des Innocents
Mes amours de ce siècle-ci
N’en aient aucune jalousie

Dans Je suis un voyou :

C’était une fille sage
À bouche, que veux-tu
J’ai croqué dans son corsage
Les fruits défendus
Elle m’a dit d’un ton sévère
Qu’est-ce que tu fais là
Mais elle m’a laissé faire
Les filles, c’est comme ça

Puis, j’ai déchiré sa robe
Sans l’avoir voulu
Le bon Dieu me le pardonne
Je n’y tenais plus

1 – Les petites filles de Michèle Bernard
2 – Êtes-vous sexiste-Beatles ou sexiste-Rolling Stones ?
3 – Jane Birkin
4 – Marie Dubas nous fait mal
5 – Les rapeurs sont-ils jugés sexistes ?
6 – Léo Ferré est-il misogyne ?
7 – Jacques Brel est-il misogyne ?
8 – Georges Brassens est-il misogyne ?
9 – Gainsbourg est-il misogyne ?
10 – Les z’hommes
11 – Le monsieur du métro
12 – À part peut-être Renaud
13 – Anne Sylvestre
13bis – La faute à Ève
14 – Rimes féminines
15 – Ne vous mariez pas les filles
16 – Nettoyer, balayer

Tous les thèmes